Rosa chinensis mutabilis, une des fiertés du jardin.
Mutation
naturelle réalisée dans un jardin de Canton du rosier botanique
Rosa chinensis purpurea natif du Yunann. Acheté par Joséphine de
Beauharnais pour la Malmaison. Le 1er rosier remontant connu, en
vague de mai à novembre. Ne supporte pas les froids supérieurs à
-7°C mais accepte les sols maigres et secs. (2x1,5m)
Zéphirine Drouhin, une star à choyer.
Grimpant de type Bourbon
créé en 1868 par Bizot. Sans épine, odorant et remontant. Tout
pour séduire mais exige ici une bonne terre franche, des arrosages
et des fertilisations régulièrement. (2m)
Lavandula dentata, Rosiers Blue eyes, Pénélope, Fleurette : un quartet de choc.
Blue eyes
est une obtention de Peter James (2011), le cœur bleu-mauve des
fleurs le rend particulièrement attrayant. Odorant et
remontant.(0,80x1m).
Pénélope ;
un grand classique du révérend Pemberton, odorant et remontant.
(1,20x1m)
Fleurette :
un grand couvre-sol non parfumé mais remontant. (1,50x3m)
Lavander
frienship, couvre sol créé par
Verschuren en 1984. Sa seconde floraison se fait sur de longues tiges
souples. (0,80x0,80m)
rosa Opalia, Un
rosier de Werner Noack, le créateur d'Eméra, parfumé et remontant.
Capable de drageonner et de couvrir plusieurs mètres carrés si on
le laisse libre. (1,30x3m)
Buff beauty et
Rahpsodie in blue, un assemble mélodieux.
Buff beauty créé
par le rosiériste l'anglais Brentall en 1939. La beauté chamoisée
est un arbuste légèrement remontant mais bien parfumé, il a besoin
d'un traitement contre l'oïdium.(1,5x2m)
Rahpsodie in blue,
fruit de la passion d'un amateur anglais, F.R Colishaw qui cherchait
à créer une rose bleue. Remontant et parfumé. Demande un tuteurage
et atteint rapidement 2m.
Une phrase à méditer:
« Si vous prenez l’habitude de planter
vos rosiers en association avec d’autres arbustes et plantes
herbacées, vous profiterez pleinement de vos
rosiers sans que ceux-ci soient pour autant en surnombre. Vous
échapperez ainsi au sentiment terrible, si familier aux vieux fous
de roses, qu’après la mi-juillet, l’année est finie. »
Christopher Lloyd.
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